Platinum Financial Services, proud sponsors of multiple industry events from technology to construction services. Our financial planning firm is an active member of our community and loves connecting with Clients and honoring them regarless of their background. They are at the heart of our mission after all.
Here are the various ways our team is connecting with you, plus a variety of relevant content for your growth and success.
Lors du BBQ de l’AQT, nous avons eu le plaisir de discuter transformation numérique et productivité avec Michel Martel, président d’Analystik. Voici notre jasette!
Analystik existe depuis plus de 30 ans, vous avez donc vécude multiples transformations numériques au sein de votre industrie. Quel est la plus grand transformation selon vous?
Je dirais l’évolution des technologies certes, mais de passer aussi d’une gestion plus familiale à une gestion plus basée sur les processus fut tout un défi.
Analystik utilise beaucoup le terme «devenir mature» au niveau numérique. Qu’est-ce que ça veut dire concrètement?
Produire plus avec moins et ou sinon avec autant. C’est aussi un de nos fers de lance. Et ça fonctionne, car un de nos clients a vu son chiffre d’affaires augmenter de 50% avec une augmentation de 20% des effectifs! Cela est un bel exemple d’augmentation de la productivité.
Vous utilisez le EIP? Qu’est-ce que c’est?
Le EIP est le résultat de 25 ans de recherche et développement et cela veut dire «entreprise integration plateform». C’est l’équivalent de notre coffre à outils chez Analystik et c’est ce qu’on offre à nos clients. D’ailleurs on dit à nos clients qu’ils peuvent sauver avec cet outil, le EIP sauver entre 10 à 5 % des coûts de développement!
Le débat entre l’adoption du logiciel en tant que service (SAS) versus l’investissement dans le logiciel sur mesure est de tous les jours dans votre industrie. Que faut-il retenir de ce débat?
C’est un gros débat effectivement car plusieurs directeurs informatiques sont vraiment attirés par un produit commercial clé en main mais oublient quand même plusieurs choses. À la fin est-ce que le produit va correspondre à ses besoins? Est-ce que ça va finir par lui coûter plus cher ou moins cher? Je vis trop souvent des clients qui vont vers un produits SAS et qui passent leur temps et leur argent à le personnaliser et au bout de 4-5 ans on va vers une autre plateforme. Cet investissement là est donc perdu. Je pense qu’il est mieux de mettre son investissement dans du code de l’intelligence artificielle qui vous appartient au final.
Vous êtes dans divers milieu professionnels et industries. Lequel comporte le plus de défis?
Le milieu de la finance a de gros défis! Il existe l’aspect sécurité qui est toujours au cœur du travail. Par exemple Salesforce. Il s’agit essentiellement de données clients. Donc pour travailler avec ce type de contenu, il y a toujours l’aspect sécurité des données. Ce sont aussi des entreprises très matures alors tu te dois de l’être aussi dans ton développement.
Analystik existe depuis plus de 30 ans, vous avez donc vécude multiples transformations numériques au sein de votre industrie. Quel est la plus grand transformation selon vous?
Je dirais l’évolution des technologies certes, mais de passer aussi d’une gestion plus familiale à une gestion plus basée sur les processus fut tout un défi.
Analystik utilise beaucoup le terme «devenir mature» au niveau numérique. Qu’est-ce que ça veut dire concrètement?
Produire plus avec moins et ou sinon avec autant. C’est aussi un de nos fers de lance. Et ça fonctionne, car un de nos clients a vu son chiffre d’affaires augmenter de 50% avec une augmentation de 20% des effectifs! Cela est un bel exemple d’augmentation de la productivité.
Vous utilisez le EIP? Qu’est-ce que c’est?
Le EIP est le résultat de 25 ans de recherche et développement et cela veut dire «entreprise integration plateform». C’est l’équivalent de notre coffre à outils chez Analystik et c’est ce qu’on offre à nos clients. D’ailleurs on dit à nos clients qu’ils peuvent sauver avec cet outil, le EIP sauver entre 10 à 5 % des coûts de développement!
Le débat entre l’adoption du logiciel en tant que service (SAS) versus l’investissement dans le logiciel sur mesure est de tous les jours dans votre industrie. Que faut-il retenir de ce débat?
C’est un gros débat effectivement car plusieurs directeurs informatiques sont vraiment attirés par un produit commercial clé en main mais oublient quand même plusieurs choses. À la fin est-ce que le produit va correspondre à ses besoins? Est-ce que ça va finir par lui coûter plus cher ou moins cher? Je vis trop souvent des clients qui vont vers un produits SAS et qui passent leur temps et leur argent à le personnaliser et au bout de 4-5 ans on va vers une autre plateforme. Cet investissement là est donc perdu. Je pense qu’il est mieux de mettre son investissement dans du code de l’intelligence artificielle qui vous appartient au final.
Vous êtes dans divers milieu professionnels et industries. Lequel comporte le plus de défis?
Le milieu de la finance a de gros défis! Il existe l’aspect sécurité qui est toujours au cœur du travail. Par exemple Salesforce. Il s’agit essentiellement de données clients. Donc pour travailler avec ce type de contenu, il y a toujours l’aspect sécurité des données. Ce sont aussi des entreprises très matures alors tu te dois de l’être aussi dans ton développement.
Quelle belle discussion avec Catherine Bouchard, présidente de Centris Technologies! Rencontrée au BBQ de l’AQT, elle nous parle de technologie dans l’industrie manufacturière. #bbq #AQT #membretechno
Vous êtes dans le développement de logiciels et dans la transformation numérique, mais pour le milieu manufacturier. Qu’est-ce qui distingue cette industrie des autres?
Nous sommes en effet très niché et c’est vraiment très cool car chaque jour on apprend! Une journée on peut faire du chocolat, le lendemain des chenilles de tracteurs, de la peinture, etc. C’est très varié, on touche à plein de choses et c’est très valorisant pour notre entreprise. C’est plein de technologies qui se connectent ensemble.
Centris a réalisé plus 500 projets en Amérique du Nord en quelques années, qu’est-ce qui vous rend les plus fiers dans tout ça?
Y’a des clients québécois dont on est hyper fiers, car nous c’est eux qu’on souhaite rendre plus profitables et productifs, mais nos plus gros projets sont aux USA. On a beau dire ce qu’on veut d’eux, ils sont dans notre industrie visionnaires et n’ont pas peur d’investir dans la technologie. Nous tout ce qu’on veut c’est pouvoir faire la même chose avec nos talents d’ici pour les propulser également.
L’approche collaborative est au centre de votre vision, ça veut dire quoi?
On a beau dire que c’est de la technologie, mais c’est l’humain qui fait la différence. Dans une industrie manufacturière, chaque personne à sa spécialité et nous avons la notre et la technologie est un moyen pour unir tout ça et y arriver. La transformation numérique c’est très humain au final, on parle de gestion du changement, de bousculer des habitudes de de travail, des façons de faire. C’est un travail très humain et la collaboration est cruciale.
Vous êtes une des rares femmes dans le tech. Pour vrai, l’industrie des technologies est-elle «women friendly»?
Haha! Il a fallu fort pour faire ma place et crois moi je ne l’ai pas volée! Aujourd’hui quand je parle les gens m’écoutent. Moi j’aime la techno, cela ne veut pas dire que toutes le femme aiment la techno mais imagine moi arriver dans une usine, une de mes premières, aux USA, qui arrive et que c’est moi, la fille, qui va programmer toute l’usine! Est-ce que l’on m’a jeté des roches non? Mais est-ce que je me suis senti bienvenue? Non! Mais les choses changent.
Vous êtes dans le développement de logiciels et dans la transformation numérique, mais pour le milieu manufacturier. Qu’est-ce qui distingue cette industrie des autres?
Nous sommes en effet très niché et c’est vraiment très cool car chaque jour on apprend! Une journée on peut faire du chocolat, le lendemain des chenilles de tracteurs, de la peinture, etc. C’est très varié, on touche à plein de choses et c’est très valorisant pour notre entreprise. C’est plein de technologies qui se connectent ensemble.
Centris a réalisé plus 500 projets en Amérique du Nord en quelques années, qu’est-ce qui vous rend les plus fiers dans tout ça?
Y’a des clients québécois dont on est hyper fiers, car nous c’est eux qu’on souhaite rendre plus profitables et productifs, mais nos plus gros projets sont aux USA. On a beau dire ce qu’on veut d’eux, ils sont dans notre industrie visionnaires et n’ont pas peur d’investir dans la technologie. Nous tout ce qu’on veut c’est pouvoir faire la même chose avec nos talents d’ici pour les propulser également.
L’approche collaborative est au centre de votre vision, ça veut dire quoi?
On a beau dire que c’est de la technologie, mais c’est l’humain qui fait la différence. Dans une industrie manufacturière, chaque personne à sa spécialité et nous avons la notre et la technologie est un moyen pour unir tout ça et y arriver. La transformation numérique c’est très humain au final, on parle de gestion du changement, de bousculer des habitudes de de travail, des façons de faire. C’est un travail très humain et la collaboration est cruciale.
Vous êtes une des rares femmes dans le tech. Pour vrai, l’industrie des technologies est-elle «women friendly»?
Haha! Il a fallu fort pour faire ma place et crois moi je ne l’ai pas volée! Aujourd’hui quand je parle les gens m’écoutent. Moi j’aime la techno, cela ne veut pas dire que toutes le femme aiment la techno mais imagine moi arriver dans une usine, une de mes premières, aux USA, qui arrive et que c’est moi, la fille, qui va programmer toute l’usine! Est-ce que l’on m’a jeté des roches non? Mais est-ce que je me suis senti bienvenue? Non! Mais les choses changent.
Nous avons eu le plaisir, lors du BBQ de l’AQT, de discuter avec Mathieu Bélanger
CEO de Parkour3! Voici notre discussion :) #bbq #aqt #membretechno
Parcour3 existe depuis 22 ans dans l’industrie du développement web, c’est énorme. Qu’est-ce qui explique votre longévité selon vous?
C’est l’équipe! Nous avons su au fil du temps trouver les bonnes personnes de talent. De plus, nous avons su développer la capacité de se réinventer plusieurs fois en faisant des tournants majeurs. Je suis très fier de cela.
L’autonomie de vos clients est ce que vous souhaitez. Qu’est-ce que ça veut dire pour un client «être autonome numériquement»?
Ça peut sembler contradictoire car l’on cherche des relations à long terme avec nos clients alors si ils deviennent autonomes on les perds, mais ce n’est pas cela que ça veut dire concrètement. Certes dans l’éxécution, mais dans l’accompagnement, car ça change tellement vite, on demeure. Avec l’arrivée de l’A.I on a du pain sur la planche avec nos clients!
Parkour3 a une certification Hubspot Diamond, qu’est-ce que ça signifie?
C’est une question de volume de ventes de licences et le nombre de clients pour lesquels on possède les accès. C’est la somme des deux en fait.
Vous avez fondé Parkour3 tout jeune avec 5000$ en poche, en misant tout sur cette compagnie. Que diriez-vous à un jeune Mathieu devant vous qui a 5K et veut se lancer en affaires?
Je lui dirais d’oser et de risquer! C’est facile oser quand on n’a pas grand chose à perdre alors ose. Plus on de choses à perdre plus on devient frileux. Moi je me suis dit au pire, j’aurai une dette mais j’aurai essayé! Je lui dirais aussi de se lancer en affaires avec au moins déjà en poche un premier client. Lance toi avec un client et ensuite tu t’arrangeras pour rester en vie mais assure toi au moins d’avoir su stabiliser ton premier client. Partir est facile, mais survivre est différent!
CEO de Parkour3! Voici notre discussion :) #bbq #aqt #membretechno
Parcour3 existe depuis 22 ans dans l’industrie du développement web, c’est énorme. Qu’est-ce qui explique votre longévité selon vous?
C’est l’équipe! Nous avons su au fil du temps trouver les bonnes personnes de talent. De plus, nous avons su développer la capacité de se réinventer plusieurs fois en faisant des tournants majeurs. Je suis très fier de cela.
L’autonomie de vos clients est ce que vous souhaitez. Qu’est-ce que ça veut dire pour un client «être autonome numériquement»?
Ça peut sembler contradictoire car l’on cherche des relations à long terme avec nos clients alors si ils deviennent autonomes on les perds, mais ce n’est pas cela que ça veut dire concrètement. Certes dans l’éxécution, mais dans l’accompagnement, car ça change tellement vite, on demeure. Avec l’arrivée de l’A.I on a du pain sur la planche avec nos clients!
Parkour3 a une certification Hubspot Diamond, qu’est-ce que ça signifie?
C’est une question de volume de ventes de licences et le nombre de clients pour lesquels on possède les accès. C’est la somme des deux en fait.
Vous avez fondé Parkour3 tout jeune avec 5000$ en poche, en misant tout sur cette compagnie. Que diriez-vous à un jeune Mathieu devant vous qui a 5K et veut se lancer en affaires?
Je lui dirais d’oser et de risquer! C’est facile oser quand on n’a pas grand chose à perdre alors ose. Plus on de choses à perdre plus on devient frileux. Moi je me suis dit au pire, j’aurai une dette mais j’aurai essayé! Je lui dirais aussi de se lancer en affaires avec au moins déjà en poche un premier client. Lance toi avec un client et ensuite tu t’arrangeras pour rester en vie mais assure toi au moins d’avoir su stabiliser ton premier client. Partir est facile, mais survivre est différent!
Pour ce portrait, nous avons eu le plaisir de discuter cybersécurité avec Simon Martel président de Groupe Access et Brad Westlake, directeur et business developper chez Groupe Access. Voici l’intéressante conversation! #BBQ #AQT #Membretechno
Groupe Acces a été fondé en 1993 et depuis est devenue une des plus grosses boîtes de cybersécurité au Canada, comment expliquez-vous votre croissance?
S.M.- Il y a une grande partie qui est grâce aux employés du groupe Access. Ce sont tous des gens passionnés, intéressés à apprendre et partager leur connaissances. De plus, ils s’assurent que nos clients ont une expérience exceptionnelle. Ce succès là depuis deux ans est aussi dû au fait que nous avons de nouveaux investisseurs qui ont permis une croissance nationale. Nous avons pu acquérir 14 autres bureaux à travers le Canada.
B.W.- De plus on travaille avec la NRC pour tester toujours de nouvelles technologies afin d’être au devant du marché et être plus performant dans notre domaine.
La cybersécurité on en parle partout, mais que doit-on retenir principalement de cet enjeu majeur qui touche tout le monde?
B.W.- Ça change toujours. Tous les jours il y a de nouvelles failles et problèmes mais également de nouvelles solutions. Et c’est sur cet aspect que l’on met nos énergies. Nous avons un programme qui nous permet de former nos clients qui eux ensuite peuvent transmettre ce savoir à des gens ou de la famille qui ne sont pas dans ce milieu. Il faut donc démocratiser la cybersécurité et rendre le tout accessible. C’est un enjeu, le savoir.
S.M. -Sensibilisation est le mot clé. Il faut retenir que les menaces viennent de partout. Ce n’est pas les gens du Québec qui attaquent le Québec mais bien de tous les pays. Ce qu’ils ciblent c’est la faiblesse sur un ordinateur et ensuite ils peuvent y entrer et avec l’A.I ça va amplifier car ils peuvent recréer des vidéos de toi et de moi par exemple.
B.W.- La façon de protéger est simple en fait, c’est comme un oignon. Il y a plusieurs couches de protection, il n’y a jamais de protection. 100% garantie. Il faut donc avoir dans ta vie personnelle et et pour ton entreprises, plusieurs couches à cet oignon de protection.
Vous êtes partout au Canada, comment le Québec se positionne-t-il face aux autres provinces?
S.M.- On est très bons au Québec! Notre équipe ici est à la fine pointe du savoir. Ce que l’on souhaite déployer est un service de sécurité national pour l’ensemble de nos clients. On crée présentement un service de surveillance qui crée de la vigie 24-7 et qui peut réagir en temps réel. Ce qu’on a aussi comme différence au Québec aussi, la loi 25, qui oblige l’ensemble des organisations à mettre en place une gouvernance de données. Ce n’est pas rien. Les autres provinces n’ont pas cela.
Groupe Acces a été fondé en 1993 et depuis est devenue une des plus grosses boîtes de cybersécurité au Canada, comment expliquez-vous votre croissance?
S.M.- Il y a une grande partie qui est grâce aux employés du groupe Access. Ce sont tous des gens passionnés, intéressés à apprendre et partager leur connaissances. De plus, ils s’assurent que nos clients ont une expérience exceptionnelle. Ce succès là depuis deux ans est aussi dû au fait que nous avons de nouveaux investisseurs qui ont permis une croissance nationale. Nous avons pu acquérir 14 autres bureaux à travers le Canada.
B.W.- De plus on travaille avec la NRC pour tester toujours de nouvelles technologies afin d’être au devant du marché et être plus performant dans notre domaine.
La cybersécurité on en parle partout, mais que doit-on retenir principalement de cet enjeu majeur qui touche tout le monde?
B.W.- Ça change toujours. Tous les jours il y a de nouvelles failles et problèmes mais également de nouvelles solutions. Et c’est sur cet aspect que l’on met nos énergies. Nous avons un programme qui nous permet de former nos clients qui eux ensuite peuvent transmettre ce savoir à des gens ou de la famille qui ne sont pas dans ce milieu. Il faut donc démocratiser la cybersécurité et rendre le tout accessible. C’est un enjeu, le savoir.
S.M. -Sensibilisation est le mot clé. Il faut retenir que les menaces viennent de partout. Ce n’est pas les gens du Québec qui attaquent le Québec mais bien de tous les pays. Ce qu’ils ciblent c’est la faiblesse sur un ordinateur et ensuite ils peuvent y entrer et avec l’A.I ça va amplifier car ils peuvent recréer des vidéos de toi et de moi par exemple.
B.W.- La façon de protéger est simple en fait, c’est comme un oignon. Il y a plusieurs couches de protection, il n’y a jamais de protection. 100% garantie. Il faut donc avoir dans ta vie personnelle et et pour ton entreprises, plusieurs couches à cet oignon de protection.
Vous êtes partout au Canada, comment le Québec se positionne-t-il face aux autres provinces?
S.M.- On est très bons au Québec! Notre équipe ici est à la fine pointe du savoir. Ce que l’on souhaite déployer est un service de sécurité national pour l’ensemble de nos clients. On crée présentement un service de surveillance qui crée de la vigie 24-7 et qui peut réagir en temps réel. Ce qu’on a aussi comme différence au Québec aussi, la loi 25, qui oblige l’ensemble des organisations à mettre en place une gouvernance de données. Ce n’est pas rien. Les autres provinces n’ont pas cela.
Rencontré au BBQ de l’AQT, on a pris quelques minutes pour discuter CLOUD et Google avec Sébastien Lamoureux, Président de S&E Cloud Experts! Voici notre discussion!
Vous êtes dans la transformation numérique de haut niveau. Quel est le plus gros défi d’une entreprise qui souhaite se transformer?
Le plus grand défi est de faire un plan de match intelligent et de ne pas se lancer trop vite. Souvent les entreprises souhaitent emmener tout ce qu’ils ont bâtis dans le passé vers les nouvelles technologies mais il faut prendre le temps de réfléchir sur ce que l’on souhaite transférer et comment et à quel rythme. Ne pas aller trop vite.
Vous êtes dédiés à un seul partenaire, Google. Pourquoi?
La raison pour laquelle on a choisis Google est multiple. De un on adore les valeurs qui sont véhiculées par l’entreprise et de deux, je me suis retrouvé de l’autre côté de la chaise et j’achetais des solutions informatiques. Je n’aimais pas voir un fournisseur qui me proposait tous les produits disponibles, je trouvais que ça manquait de crédibilité. Si le produit est fait pour toi, GO, sinon je ne suis pas gêné de dire au client que le produit n’est pas fait pour lui.
Premier partenaire bilingue de Google en Amérique du Nord. Bravo! Qu’est-ce que ça implique au niveau de votre entreprise ce double volet?
Pour nous c’est un différentiateur car pour nous notre mission est de transformer les entreprises québécoises vers les nouvelles technologies. Mais au Québec, on a un déficit technologique. On a besoin d’experts pour accélérer la transformation et ce dans les deux langues, voilà notre but.
Google est devenu une nécessité pour le commun des mortels. Quel est l’avantage pour une entreprise?
Ce sont des produits très ouverts, il est donc facile d’en sortir. Dans un mon de où l’on veut réagir rapidement, c’est un gros avantage. C’est aussi un cloud vert et responsable, donc un cloud qui soutient l’environnement, mais aussi toutes les valeurs de diversité et d’inclusion. C’est très fort chez eux. Si on ne va pas vers le cloud comme Google, les technologies du futur de ne seront pas accessibles. Google a transformé sa vision sur le marché depuis 10 ans auprès des entreprises. Quand j’ai commencé avec eux, il n’y avait personne à Montréal, aujourd’hui ils sont rendus 70 en vente à Montréal. C’est gros! Il y a donc eu un changement majeur.
Vous êtes dans la transformation numérique de haut niveau. Quel est le plus gros défi d’une entreprise qui souhaite se transformer?
Le plus grand défi est de faire un plan de match intelligent et de ne pas se lancer trop vite. Souvent les entreprises souhaitent emmener tout ce qu’ils ont bâtis dans le passé vers les nouvelles technologies mais il faut prendre le temps de réfléchir sur ce que l’on souhaite transférer et comment et à quel rythme. Ne pas aller trop vite.
Vous êtes dédiés à un seul partenaire, Google. Pourquoi?
La raison pour laquelle on a choisis Google est multiple. De un on adore les valeurs qui sont véhiculées par l’entreprise et de deux, je me suis retrouvé de l’autre côté de la chaise et j’achetais des solutions informatiques. Je n’aimais pas voir un fournisseur qui me proposait tous les produits disponibles, je trouvais que ça manquait de crédibilité. Si le produit est fait pour toi, GO, sinon je ne suis pas gêné de dire au client que le produit n’est pas fait pour lui.
Premier partenaire bilingue de Google en Amérique du Nord. Bravo! Qu’est-ce que ça implique au niveau de votre entreprise ce double volet?
Pour nous c’est un différentiateur car pour nous notre mission est de transformer les entreprises québécoises vers les nouvelles technologies. Mais au Québec, on a un déficit technologique. On a besoin d’experts pour accélérer la transformation et ce dans les deux langues, voilà notre but.
Google est devenu une nécessité pour le commun des mortels. Quel est l’avantage pour une entreprise?
Ce sont des produits très ouverts, il est donc facile d’en sortir. Dans un mon de où l’on veut réagir rapidement, c’est un gros avantage. C’est aussi un cloud vert et responsable, donc un cloud qui soutient l’environnement, mais aussi toutes les valeurs de diversité et d’inclusion. C’est très fort chez eux. Si on ne va pas vers le cloud comme Google, les technologies du futur de ne seront pas accessibles. Google a transformé sa vision sur le marché depuis 10 ans auprès des entreprises. Quand j’ai commencé avec eux, il n’y avait personne à Montréal, aujourd’hui ils sont rendus 70 en vente à Montréal. C’est gros! Il y a donc eu un changement majeur.
Un autre talent de l’industrie du tech: Jean-Christophe Duchaine, président et fondateur de APPCOM. Voici notre petite entrevue! #BBQ #AQT #membretechno
Vous dites « Appcom est un studio de développement à échelle humaine» Qu’est ce que ça signifie concrètement le côté humain chez Appcom?
On est spécialisés en développement application pour des entreprises de moyenne à grande taille, mais tout en gardant le dynamisme que l’on retrouve dans des plus petits projets. On aime garder le côté humain intime du petit fournisseur.
L’idée de base il y a 10 ans derrière Appcom?
Ça partait de la passion des applications mobiles et de la technologie! En technologie, il est difficile de transmettre sa passion car personne de notre entourage ne comprend ce que l’on fait. Tandis que les applications, c’est tangible, humain et pratique. Concret même. Ensuite, toujours le désir d’emmener de la qualité dans ce domaine. Il y a beaucoup de app qui ne sont pas de qualités et moi, je souhaitais avoir un impact avec nos app et ce dans une qualité exemplaire.
Comment décririez vous l’évolution de ce domaine depuis que vous y êtes?
Ça a beaucoup changé. Au début les gens ne savaient pas trop ce que c’était des applications et tout le monde en voulait sans savoir précisément de quoi il s’agissait. Aujourd’hui, on est ailleurs, on est dans la qualité et on voit des clients et des projets qui souhaitent se distinguer des autres avec leur application et non seulement en avoir une comme il y a plusieurs années. Avant c’était la commodité et là, c’est innover.
Quel conseil donneriez-vous à une entreprise qui veut développer une application mais qui ne s’y connaît pas?
La première question à se poser est «est-ce que l’on souhaite développer un vrai cas d’usage?» Je donne un exemple. Si vous êtes une compagnie de vélo et que vous visez vos utilisateurs, ils sont en vélos, alors la mobilité de l’app est parfaite. Mais si on est dans le milieu de la bureautique et développer quelque chose pour optimiser le travailleur, peut-être que l’application n’est pas le bon moyen, mais davantage le site web ou une plateforme accessible sur l’ordinateur, puisque le travailleur y est toute la journée. La question se pose!
Vous avez une superbe philosophie de travail chez vous, parlez-m’en.
Moi j’ai une croyance profonde que pour avoir du succès il faut s’entourer de gens qui sont là pour les bonnes raisons pour vouloir faire une différence. Et ça, ça se traduit dans notre façon d,aborder le travail. Diversité, inclusion, conciliation travail famille, on a un super beau taux de rétention et on est entourés de passionnés!
Vous dites « Appcom est un studio de développement à échelle humaine» Qu’est ce que ça signifie concrètement le côté humain chez Appcom?
On est spécialisés en développement application pour des entreprises de moyenne à grande taille, mais tout en gardant le dynamisme que l’on retrouve dans des plus petits projets. On aime garder le côté humain intime du petit fournisseur.
L’idée de base il y a 10 ans derrière Appcom?
Ça partait de la passion des applications mobiles et de la technologie! En technologie, il est difficile de transmettre sa passion car personne de notre entourage ne comprend ce que l’on fait. Tandis que les applications, c’est tangible, humain et pratique. Concret même. Ensuite, toujours le désir d’emmener de la qualité dans ce domaine. Il y a beaucoup de app qui ne sont pas de qualités et moi, je souhaitais avoir un impact avec nos app et ce dans une qualité exemplaire.
Comment décririez vous l’évolution de ce domaine depuis que vous y êtes?
Ça a beaucoup changé. Au début les gens ne savaient pas trop ce que c’était des applications et tout le monde en voulait sans savoir précisément de quoi il s’agissait. Aujourd’hui, on est ailleurs, on est dans la qualité et on voit des clients et des projets qui souhaitent se distinguer des autres avec leur application et non seulement en avoir une comme il y a plusieurs années. Avant c’était la commodité et là, c’est innover.
Quel conseil donneriez-vous à une entreprise qui veut développer une application mais qui ne s’y connaît pas?
La première question à se poser est «est-ce que l’on souhaite développer un vrai cas d’usage?» Je donne un exemple. Si vous êtes une compagnie de vélo et que vous visez vos utilisateurs, ils sont en vélos, alors la mobilité de l’app est parfaite. Mais si on est dans le milieu de la bureautique et développer quelque chose pour optimiser le travailleur, peut-être que l’application n’est pas le bon moyen, mais davantage le site web ou une plateforme accessible sur l’ordinateur, puisque le travailleur y est toute la journée. La question se pose!
Vous avez une superbe philosophie de travail chez vous, parlez-m’en.
Moi j’ai une croyance profonde que pour avoir du succès il faut s’entourer de gens qui sont là pour les bonnes raisons pour vouloir faire une différence. Et ça, ça se traduit dans notre façon d,aborder le travail. Diversité, inclusion, conciliation travail famille, on a un super beau taux de rétention et on est entourés de passionnés!
Chez Platinum Sun Life, on adore mettre de l’avant les talents et artisans de nos industries! Lors du BBQ estival de l’AQT, nous avons eu le plaisir de réaliser quelques portraits du milieu du tech. Voici notre jasette avec Mathieu Plante et Jeff Carrier, tous deux fondateurs de Hello Darwin!
Vous aidez les entreprises à trouver du financement et des subventions tout en les accompagnant dans leur transformation numérique. Quel est le plus gros défi justement pour une entreprise qui veut se propulser et grandir?
Je pense que c’est d’abord et avant tout d’avoir le moyen de ses ambitions. Tu as le talent, l’argent mais il faut avoir un plan. Il y a beaucoup de subventions ici mais comment on navigue là dedans, c’est autre chose.
Vous êtes fiers de dire que vous êtes des conseillers 100% impartiaux. Qu’est-ce que ça signifie concrètement?
Ça veut dire que le client qui vient nous voir n’est pas dans l’implantation de son site web, on ne fait pas cela. On les conseille dans toutes les étapes, les écoute et les dirigent vers ce qu’il y a de mieux pour eux. Mais nous ne sommes pas dans l’application. C’est ce qui nous différencie. Il a le libre choix final.
De quoi les entreprises semblent avoir de besoin le plus?
Les entreprises ont ce besoin d’être plus à l’affût de ce qui est disponible pour eux en ce qui attrait au financement. Il existe une foule de possibilités que plusieurs ne connaissent pas.
La valeur la plus importante chez Hello Darwin?
L’adaptation assurément. Le nombre de fois où nous avons dû nous même à s’adapter et se redéfinir est grand. Nous visons l’adaptation. Je pense que les entreprises ont besoin aussi d’adaptabilité.
Ce qui vous différencie des autres chez Hello Darwin?
Nous offrons un loop complet. On les écoute, les conseille, les accompagne jusqu’aux choix finaux. Du marketing en passant par le financement et les stratégies futures, on est avec le client dans toutes les étapes. On peut même les aider à trouver les meilleurs fournisseurs adaptés à leur plateforme! On a vraiment le sentiment de faire un impact et de faire avancer les business.
Vous aidez les entreprises à trouver du financement et des subventions tout en les accompagnant dans leur transformation numérique. Quel est le plus gros défi justement pour une entreprise qui veut se propulser et grandir?
Je pense que c’est d’abord et avant tout d’avoir le moyen de ses ambitions. Tu as le talent, l’argent mais il faut avoir un plan. Il y a beaucoup de subventions ici mais comment on navigue là dedans, c’est autre chose.
Vous êtes fiers de dire que vous êtes des conseillers 100% impartiaux. Qu’est-ce que ça signifie concrètement?
Ça veut dire que le client qui vient nous voir n’est pas dans l’implantation de son site web, on ne fait pas cela. On les conseille dans toutes les étapes, les écoute et les dirigent vers ce qu’il y a de mieux pour eux. Mais nous ne sommes pas dans l’application. C’est ce qui nous différencie. Il a le libre choix final.
De quoi les entreprises semblent avoir de besoin le plus?
Les entreprises ont ce besoin d’être plus à l’affût de ce qui est disponible pour eux en ce qui attrait au financement. Il existe une foule de possibilités que plusieurs ne connaissent pas.
La valeur la plus importante chez Hello Darwin?
L’adaptation assurément. Le nombre de fois où nous avons dû nous même à s’adapter et se redéfinir est grand. Nous visons l’adaptation. Je pense que les entreprises ont besoin aussi d’adaptabilité.
Ce qui vous différencie des autres chez Hello Darwin?
Nous offrons un loop complet. On les écoute, les conseille, les accompagne jusqu’aux choix finaux. Du marketing en passant par le financement et les stratégies futures, on est avec le client dans toutes les étapes. On peut même les aider à trouver les meilleurs fournisseurs adaptés à leur plateforme! On a vraiment le sentiment de faire un impact et de faire avancer les business.
Quel superbe BBQ de l’AQT! Partenaire de l’événement, nous avons mis du soleil dans la journée avec le margarita de bienvenue signé Platinum Sun Life! #cocktail #bbq
Platinum Sun Life était encore une fois cette année, partenaire du tournoi de golf de l’ACQ Métropolitaine! Plaisir, réseautage de qualité, bonne bouffe et bon vin. Et bien évidemment…. du golf ;)
Platinum Sun Life sera présent et fier partenaire de ce tournoi de golf annuel de l’ ACQ Métropolitaine ce mercredi 12 juin. C’est un rdv sur le court de golf !
Merci beaucoup Cedrik Lafrance et Victor-Antoine Gauthier de chez Axelr, spécialistes en croissance d’entreprises, pour ce superbe cocktail estival réussi! Belle ambiance, bon vin et beaucoup de réseautage pertinent :)
J’ai eu le plaisir de rencontrer Guillaume Houle, responsable des affaires publiques à l’ Association de la construction du Québec afin de discuter de la vitalité et des enjeux du milieu de la construction au Québec, ainsi que du projet de loi 51. Belle et pertinente rencontre! La voici!
Sun Life Canada Sun Life Québec ACQ Métropolitaine
Sun Life Canada Sun Life Québec ACQ Métropolitaine
Watch video
Platinum Sun Life est très fier de vous présenter cette série de vox-pops ludiques autour du milieu de la construction, co-produites avec l’ACQ Métropolitaine!
Connaissez-vous bien le milieu de la protection des incendies? Pas sûr hein? Hé bien, testez toute de suite vos connaissances dans cette capsule animée par Jordan Dupuis et le Guard-X.!
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#ChantierEmploiMontreal
Sun Life Canada, Sun Life Québec, Association de la construction du Québec, This is HERD
Connaissez-vous bien le milieu de la protection des incendies? Pas sûr hein? Hé bien, testez toute de suite vos connaissances dans cette capsule animée par Jordan Dupuis et le Guard-X.!
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Deuxième vox pop! C’est au tour du Groupe BMR de nous aider à se coucher moins niaiseux sur le milieu de la rénovation et de la construction! ⛏️⛏️⛏️
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Platinum Sun Life souhaite remercier ACQ Métropolitaine pour cette co-production!
Sun Life Canada, Sun Life Québec Association de la construction du Québec
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Sun Life Canada, Sun Life Québec Association de la construction du Québec
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Troisième capsule Platinum Sunlife X ACQ Métropolitaine!
Christian Gaudreau gérant de projets chez Britton Électrique part à la recherche avec Jordan Dupuis de ses nouveaux talents !💡
Pour ce faire, on fait passer l’ultime test physique du pliage de tuyau à deux aspirants électriciens! Et vous, auriez-vous su comment?
#ChantierEmploiMontreal
ACQ Métropolitaine, Association de la construction du Québec, Sun Life Canada, Sun Life Québec
Christian Gaudreau gérant de projets chez Britton Électrique part à la recherche avec Jordan Dupuis de ses nouveaux talents !💡
Pour ce faire, on fait passer l’ultime test physique du pliage de tuyau à deux aspirants électriciens! Et vous, auriez-vous su comment?
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C’est au tour du Groupe Geyser de partir à la recherche de nouveaux talents avec Jordan Dupuis ! Vont-ils réussir à trouver la perle rare lors de ce chantier de l’emploi de l’ ACQ Métropolitaine ?
Voici la réponse!
Cette vidéo est co-produite avec Platinum Sun life 😉
Association de la construction du Québec, Sun Life Canada, Sun Life Québec
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Cette vidéo est co-produite avec Platinum Sun life 😉
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Platinum Sun Life et l’ ACQ Métropolitaine termine la semaine de vox-pop en humour avec Jordan qui part à la recherche de nouveaux talents pour Location d'Équipements Cooper! Saurez-vous avoir les bonnes réponses au quiz? Car lui, pas du tout!
Merci à tous nos partenaires dans ce beau projet ludique et différent que l’on a eu beaucoup de plaisir à réaliser! En espérant que vous avez eu autant de plaisir que nous à les visionner!
#ChantierEmploiMontreal
Sun Life Canada, Sun Life Québec, Association de la construction du Québec
Merci à tous nos partenaires dans ce beau projet ludique et différent que l’on a eu beaucoup de plaisir à réaliser! En espérant que vous avez eu autant de plaisir que nous à les visionner!
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Vous n’étiez pas au chantier de l’emploi de l’ACQ Métropolitaine? Puisque Platinum Sun Life était un fier partenaire de l’événement, voici donc en images le «recap» de cette magnifique journée importante pour le milieu de la construction au Québec! Bon visionnement!
Nous tenons également à remercier ces entrepreneurs qui font le succès de l’industrie, soient Groupe Geyser, Location d'Équipements Cooper ,Britton Électrique ,Groupe BMR , Guard-X , Santco ,Demospec groupe ,Groupe C. Laganière, Association de la construction du Québec, Sun Life Canada, Sun Life Québec
Nous tenons également à remercier ces entrepreneurs qui font le succès de l’industrie, soient Groupe Geyser, Location d'Équipements Cooper ,Britton Électrique ,Groupe BMR , Guard-X , Santco ,Demospec groupe ,Groupe C. Laganière, Association de la construction du Québec, Sun Life Canada, Sun Life Québec
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Pour notre dernier portrait de PDG de la tech de l’ Association Québécoise des Technologies (AQT) voici Richard Fortin, Président de ITESMEDIA
#visionPDG
Vous êtes implantés depuis 20 ans dans le milieu technologique. Aujourd’hui en 2024, Itesmedia se spécialise en quoi?
Nous sommes spécialisés dans la dynamisation et la simplification des communications en entreprise. Tant au niveau des communications internes que externes. La communication interne est tout ce qui concerne le milieu de travail et externe concerne les clients ou les usagers. Par exemple la STM et ses passagers. Nous fournissons donc les logiciels pour communiquer à diverses entreprises.
Qui dit communication dit des humains au bout de la ligne. Comment on parle à des humains technologiquement?
En effet! À l’époque on avait un babillard où l’on affichait des notes que personne ne lisait mais la technologie a permise de dynamiser le tout. Les écrans sont un bon exemple de ce dynamisme. Aujourd’hui on donne l’information que la personne souhaite mais on lui donne aussi des «plus», de l’information complémentaire qui lui plait ; les scores de hockey, la température, le nombre de jours sans accident de travail etc… On peut se permettre de «bonifier» la communication.
Les technologies, est-ce un bon investissement?
De ne pas investir dans les technologies c’est se diriger dans un mur selon moi. Ce n’est plus un choix, nous sommes entourés de technologie. Il faut embrasser la technologie. L’intelligence artificielle bouscule notre façon de travailler, mais au final c’est pour mieux nous aider. Les gens manquent de connaissances sur le sujet, comme sur les technologies. Voilà pourquoi certains sont réticents.
Vous êtes venus chercher quoi à Vision PDG?
Je viens à Vision PDG depuis 6 ans et pour moi c’est une opportunité de jaser avec d’autres PDG. On réalise en venant ici que peu importe la grosseur de l’entreprise on a les mêmes enjeux et les mêmes défis. Je viens aussi écouter des conférences et échanger avec les plus jeunes. Je suis rendu au moment où j’en envie de redonner à la relève plutôt que de prendre. J’aime cet échange.
Sun Life Canada Sun Life Québec
#visionPDG
Vous êtes implantés depuis 20 ans dans le milieu technologique. Aujourd’hui en 2024, Itesmedia se spécialise en quoi?
Nous sommes spécialisés dans la dynamisation et la simplification des communications en entreprise. Tant au niveau des communications internes que externes. La communication interne est tout ce qui concerne le milieu de travail et externe concerne les clients ou les usagers. Par exemple la STM et ses passagers. Nous fournissons donc les logiciels pour communiquer à diverses entreprises.
Qui dit communication dit des humains au bout de la ligne. Comment on parle à des humains technologiquement?
En effet! À l’époque on avait un babillard où l’on affichait des notes que personne ne lisait mais la technologie a permise de dynamiser le tout. Les écrans sont un bon exemple de ce dynamisme. Aujourd’hui on donne l’information que la personne souhaite mais on lui donne aussi des «plus», de l’information complémentaire qui lui plait ; les scores de hockey, la température, le nombre de jours sans accident de travail etc… On peut se permettre de «bonifier» la communication.
Les technologies, est-ce un bon investissement?
De ne pas investir dans les technologies c’est se diriger dans un mur selon moi. Ce n’est plus un choix, nous sommes entourés de technologie. Il faut embrasser la technologie. L’intelligence artificielle bouscule notre façon de travailler, mais au final c’est pour mieux nous aider. Les gens manquent de connaissances sur le sujet, comme sur les technologies. Voilà pourquoi certains sont réticents.
Vous êtes venus chercher quoi à Vision PDG?
Je viens à Vision PDG depuis 6 ans et pour moi c’est une opportunité de jaser avec d’autres PDG. On réalise en venant ici que peu importe la grosseur de l’entreprise on a les mêmes enjeux et les mêmes défis. Je viens aussi écouter des conférences et échanger avec les plus jeunes. Je suis rendu au moment où j’en envie de redonner à la relève plutôt que de prendre. J’aime cet échange.
Sun Life Canada Sun Life Québec
Voici notre superbe jasette avec Dominic Gagnon
Président et fondateur de Connect&GO, rencontré à VISION PDG de l’Association Québécoise des Technologies (AQT)🙂
Pourquoi participez vous à un événement comme Vision PDG?
Pour déconnecter en premier lieu et ensuite car j’ai ce besoin de rencontrer d’autres entrepreneurs qui vivent la même réalité au même moment. Nous avons peu de moments dans la vie pour réseauter avec d’autres PDG du tech. C’est génial.
Qu’est-ce que tous les PDG ici ont en commun?
Nous avons tous les mêmes défis! Par exemple au niveau de la main d’œuvre et ensuite au niveau du financement. Le climat économique a changé. On cherche tous à croître à travers la tempête économique actuelle. Nous avons tous ces mêmes défis.
Connect & Go est devenu un leader mondial en innovation et technologie. Pour le commun des mortels, vous faites quoi?
Avant la pandémie nous étions le plus gros joueur au monde dans le marché du bracelet intelligent, avec la pandémie nous avons perdu notre marché au complet. Pandémie = plus aucun festivals internationaux. Nous avons donc dû se réinventer et sommes arrivés avec cette stratégie d’intégrer les parcs d’attractions, zoos et parcs aquatiques. Nous sommes devenus des leaders en gestion d’affluence des visiteurs. Nous sommes devenus un système de gestion tout en un. Des restos en passant par les boutiques ou les entrées, tout est géré par notre technologie. Nous avons surmonté la pandémie et sommes devenus un marché de 500 millions en date d’aujourd’hui.
C’est quoi le futur technologique de Connect & Go?
Nous avons réussi avec l’intelligence artificielle de développer un outil pour les parcs d’attractions qui peut prédire jusqu’à 10 jours d’avance le nombre de visiteurs et ce , basés sur une foule de facteurs. La prévisibilité était un enjeu important qui maintenant est possible de se voir être réglé! La tarification dynamique est au cœur de cette technologie.
Votre projet le plus ambitieux?
Notre plus gros projet est les Jeux de Paris dans quelques semaines, mais le plus ambitieux n’est pas forcément le plus prestigieux. Je dirais que le plus ambitieux chez nous est le volume de transactions. On vise le milliard de dollars pour la prochaine année. Ceci est super ambitieux pour nous sachant que nous avons parti cela en 2020 alors de toucher le milliards en 5 ans est vraiment tout un défi.
Connect & Go est encore 1oo% québécois. Pourquoi ce choix?
Pour moi c’est décevant quand je vois que l’on vend trop rapidement aux étrangers, je trouve que nous devons être plus ambitieux! Nous avons le talent et nous avons la responsabilité de créer des géants. Nous avons tout pour être fiers!
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Président et fondateur de Connect&GO, rencontré à VISION PDG de l’Association Québécoise des Technologies (AQT)🙂
Pourquoi participez vous à un événement comme Vision PDG?
Pour déconnecter en premier lieu et ensuite car j’ai ce besoin de rencontrer d’autres entrepreneurs qui vivent la même réalité au même moment. Nous avons peu de moments dans la vie pour réseauter avec d’autres PDG du tech. C’est génial.
Qu’est-ce que tous les PDG ici ont en commun?
Nous avons tous les mêmes défis! Par exemple au niveau de la main d’œuvre et ensuite au niveau du financement. Le climat économique a changé. On cherche tous à croître à travers la tempête économique actuelle. Nous avons tous ces mêmes défis.
Connect & Go est devenu un leader mondial en innovation et technologie. Pour le commun des mortels, vous faites quoi?
Avant la pandémie nous étions le plus gros joueur au monde dans le marché du bracelet intelligent, avec la pandémie nous avons perdu notre marché au complet. Pandémie = plus aucun festivals internationaux. Nous avons donc dû se réinventer et sommes arrivés avec cette stratégie d’intégrer les parcs d’attractions, zoos et parcs aquatiques. Nous sommes devenus des leaders en gestion d’affluence des visiteurs. Nous sommes devenus un système de gestion tout en un. Des restos en passant par les boutiques ou les entrées, tout est géré par notre technologie. Nous avons surmonté la pandémie et sommes devenus un marché de 500 millions en date d’aujourd’hui.
C’est quoi le futur technologique de Connect & Go?
Nous avons réussi avec l’intelligence artificielle de développer un outil pour les parcs d’attractions qui peut prédire jusqu’à 10 jours d’avance le nombre de visiteurs et ce , basés sur une foule de facteurs. La prévisibilité était un enjeu important qui maintenant est possible de se voir être réglé! La tarification dynamique est au cœur de cette technologie.
Votre projet le plus ambitieux?
Notre plus gros projet est les Jeux de Paris dans quelques semaines, mais le plus ambitieux n’est pas forcément le plus prestigieux. Je dirais que le plus ambitieux chez nous est le volume de transactions. On vise le milliard de dollars pour la prochaine année. Ceci est super ambitieux pour nous sachant que nous avons parti cela en 2020 alors de toucher le milliards en 5 ans est vraiment tout un défi.
Connect & Go est encore 1oo% québécois. Pourquoi ce choix?
Pour moi c’est décevant quand je vois que l’on vend trop rapidement aux étrangers, je trouve que nous devons être plus ambitieux! Nous avons le talent et nous avons la responsabilité de créer des géants. Nous avons tout pour être fiers!
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